[First Word Records] 180 KEB
Un deuxième album que l'Anglais avait, à l'origine, conçu comme la ballade nocturne d'une strip-teaseuse, un soir de 22 février 1985, à travers une ville endormie, aux néons intermittents. Un LP concept, où toutes les tracks s'enfilent comme des perles, lui insufflant une réelle unité pour en faire l'une des plus belles surprises de ce début d'année 2017. L'album de Bastien Keb est indéfinissable, folk, funk downtempo tortueux, jazz, soul, électronica lascive : tous ces termes sont justes et en même temps faux car forcément réducteurs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire