[Time
Released Sound]
De
la campagne italienne à son rideau d’étoiles et jusque dans la
matière même de l’imagination, ''Les Mondes Imaginaires'' semble
percer le voile de la réalité à mesure que ses sérénades
bucoliques déjà malmenées par l’instabilité de la matrice
(''Primum Mobile'') déconstruisent le temps à rebours (''Order &
Disorder'') pour en confronter les secrets dans la fausse quiétude des
coulisses de la Création, un lieu hors de portée dont l’étrange
magie électro-acoustique aux textures mouvantes semble orchestrer et
enchanter par cuivres et chœurs interposés l’Éternité elle-même
dans tout son équilibre de candeur et de tragédie (''Hyades'').
Un infini de possibilités que Francesco Giannico façonne avec tous les moyens à sa disposition sur cet album-monde que l’on n’aura certainement jamais tout à fait fini d’explorer.
Un infini de possibilités que Francesco Giannico façonne avec tous les moyens à sa disposition sur cet album-monde que l’on n’aura certainement jamais tout à fait fini d’explorer.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire