[Ici d'ailleurs] 2 ELL
Artiste discret, passionné de musiques folkloriques d’ailleurs, Matt Elliott laisse ici beaucoup de place aux instruments – guitares acoustiques et électriques, piano cabossé, saxophone orageux. Portée par sa voix charbonneuse, dans la lignée de celles de Leonard Cohen ou de Stuart A. Staples (Tindersticks), cette nouvelle œuvre sonde pudiquement les tréfonds de l’âme, les blessures qui ne cicatrisent pas et les troubles non résolus, sans pour autant tomber dans le désespoir : la consolation triomphe, avec la lumière de l’espoir.
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